lundi 18 décembre 2006

L'air de la Suisse

Drôle de rencontre ce samedi à Clermont-Ferrand, descendant d'une Mercedes : Johnny ! passer par l’Auvergne pour aller en suisse, l'idole souffre sans doute un bug GPS. Je m'approche, pas de gardes du corps, ni de paparazzis, il me regarde derrière de grosses Ray ban, aurait-il lâché Optic 2000 en même temps que la France et Sarkozy ?
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Alors que j'allais lui demander un autographe, il me fait comprendre qu'il ne s'agit pas du vrai, mais d'un clone. Il est à Smet ce que le surami est au crabe. Son nom, Johnny Halloway !
Ainsi, les sosies sont, parcourant les routes de gala en gala, ne gagnant sans doute pas assez encore pour songer à l'exil.
Très vite des badauds se précipitent, il leur sourit gentiment, accepte les photos souvenirs, engrange et distribue les compliments.

Ce Johnny light terriblement ressemblant ne se prend pas au sérieux, il donne du bonheur à ceux qui tout à l'heure poseront sa photo dans leur salon, à côté de la reproduction du clown de Buffet, Bernard pas Marie Georges. Franck, c'est son prénom, est heureux, sans Johnny il serait resté garagiste.

Peut-être, pense-t-il, chaque jour qu'il aurait pu être le double de Philippe de Villiers et là... mourir de faim.
Bernard

vendredi 15 décembre 2006

Nouveau ou ancien régime ?

Voilà un mois déjà que je ne bois plus de vin le soir en dînant, ne bouffe plus de charcuterie : mon toubib me fit peur.

Les porcs peuvent retrouver le sourire. :-)

J'espère avoir perdu quelques kilos, pas évident.

Je suis allé acheter chemises et caleçons chez Attention, une boutique qui habille les personnes enrobées, pour ne pas dire les très gros. Le vendeur n'a pas bronché, même tour de col, même tour de ventre. Pas une remarque agréable dans le genre "je ne vous ai pas reconnu" Aurais je arrêté le vin en vain ? Et pourtant je me sens moins lourd, pas dans l' humour rassurez vous. je peux m'arracher du canapé sans me cramponner à la table basse, je sors plus facilement de ma bagnole, un 4+4 pourtant....

Pas encore le physique de Harry Baroin Potter mais ça viendra. Nos politiques sont décidément incorrigibles Baroin, Borloo, Strauss Kahn, Kouchner, Sarkozy... ils succombent aux charmes de nos journalistes, femmes de plume... en attendant Raffarin avec Chabot, Pujadas avec Nelly Ollin, je constate qu'ils ne baisent pas que les électeurs.

Bernard

jeudi 14 décembre 2006

Lecture du Week End

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Un article vraiment sympa sur l'émission des Grosses Têtes est dans le numéro de VSD N°1529 !

Et là, une petite photo de Sydney prise par ma petite Pauline :

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Bernard

vendredi 1 décembre 2006

Le coup de blues

Ma fille Pauline part pour l'Australie cette après-midi, et c'est vraiment loin :-(

Bernard