Mardi je reprends les Grosses Têtes :-)
dimanche 24 février 2008
jeudi 14 février 2008
mercredi 13 février 2008
Salut Henri !
C'était il y a une poignée d'années, tout près du jardin d'acclimatation. Henri Salvador m'avait invité en sa cuisine devant un colombo à se lécher les babines. Il y avait travaillé ,oh le vilain mot, depuis tôt le matin.
Drôle de sensation que me retrouver face à celui qui m'avait tant fait rire gosse, père de Zorro, et minnie petite souris. autant de bonheur en tubes.
Nous devions faire une comédie musicale de sa vie, un siècle presque, l' émigration, le petit garçon de couleur, le music-hall, la découverte du jazz, la guerre, les parodies de rock signées Boris Vian, les premiers scopitone, les audiences énormes à la télé, des sketches à mourir de rire, un touché de guitare digne de Django et Benson.
L'age l'avait renvoyé à la pétanque. Le projet ne verra jamais le jour, pour le métier Salvador était fini et bien fini. Chez ces gens-là on ne se souvient pas m'sieur, on oublie.
Dans son bureau, une chambre en vrac Henri me jouait parfois sur son piano électrique les plus belles chansons de son répertoire, un tour pour moi tout seul bissant le Syracuse de ce cher Dimey....
Le succès revenu grâce à des jeunes ayant cru en lui, Salvador avait repris la route, ses habits de crooner, et le top des ventes. Dernier pied de nez à un métier qui faillit l' enterrer.
Chic avec la vie, la vie le lui rendit bien, il est mort à 90 ans, en pleine forme. Elle lui a laissé le temps de faire ses adieux en décembre 2007 . Salut Henri !
Drôle de sensation que me retrouver face à celui qui m'avait tant fait rire gosse, père de Zorro, et minnie petite souris. autant de bonheur en tubes.
Nous devions faire une comédie musicale de sa vie, un siècle presque, l' émigration, le petit garçon de couleur, le music-hall, la découverte du jazz, la guerre, les parodies de rock signées Boris Vian, les premiers scopitone, les audiences énormes à la télé, des sketches à mourir de rire, un touché de guitare digne de Django et Benson.
L'age l'avait renvoyé à la pétanque. Le projet ne verra jamais le jour, pour le métier Salvador était fini et bien fini. Chez ces gens-là on ne se souvient pas m'sieur, on oublie.
Dans son bureau, une chambre en vrac Henri me jouait parfois sur son piano électrique les plus belles chansons de son répertoire, un tour pour moi tout seul bissant le Syracuse de ce cher Dimey....
Le succès revenu grâce à des jeunes ayant cru en lui, Salvador avait repris la route, ses habits de crooner, et le top des ventes. Dernier pied de nez à un métier qui faillit l' enterrer.
Chic avec la vie, la vie le lui rendit bien, il est mort à 90 ans, en pleine forme. Elle lui a laissé le temps de faire ses adieux en décembre 2007 . Salut Henri !
mardi 12 février 2008
Bernard a le nez cassé [MAJ] 3
Samedi, après la matinée du Théâtre des 2 Anes, Bernard a fait une chute dans la rue. Il s'est cassé le nez et fendu les lèvres. Il ne pourra pas, pour le moment, reprendre les Grosses et Têtes et le théâtre.
[MAJ] Lundi soir : Le visage redevient, petit à petit, comme avant, à part le nez et la bouche. Merci pour vos mails et vos commentaires, il est très touché. Il en a pour 10 jours encore à priori.
[MAJ] 2 Mercredi matin : Bernard peut se lever de son lit et marcher. Il parle un peu mieux. Merci à Pierre Bellemare et sa femme pour les chocolats :-)
[MAJ] 3 Jeudi matin : Après un passage chez un O.R.L., Bernard fait une radio du nez ce matin. Il peut maintenant se déplacer tout seul comme un grand !
[MAJ] Lundi soir : Le visage redevient, petit à petit, comme avant, à part le nez et la bouche. Merci pour vos mails et vos commentaires, il est très touché. Il en a pour 10 jours encore à priori.
[MAJ] 2 Mercredi matin : Bernard peut se lever de son lit et marcher. Il parle un peu mieux. Merci à Pierre Bellemare et sa femme pour les chocolats :-)
[MAJ] 3 Jeudi matin : Après un passage chez un O.R.L., Bernard fait une radio du nez ce matin. Il peut maintenant se déplacer tout seul comme un grand !
Pascal
samedi 2 février 2008
Un article dans Marianne
Disponible dans les kiosques et sur leur site.
p.s. : je ne suis que co-auteur d'Anne pour le Radio Bistrot.
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